Il y a de ces matins qu’on resterait bien couche. Ca m’est arrive il y a quelques semaines. Lundi matin, temperature Ok mais pas extra, couche trop tard la veille, ca me tentais pas d’aller au bureau et d’affronter le traffic de Deerfoot une autre fois.
Une petite fin de semaine de 3 jours? Ca serait l’fun ! Mais bon, la realite revient au gallop et comme je suis tres loin d’etre independent de fortune je dois aller travailler.
Rentre au bureau de reculon, commence la journee, avec les rendement inferieur a la moyenne. Les secondes semblent des minutes, et les minutes des heures. Finalement 10 heures arrive e le boss appelle. “Hey pal, can you come in my office?
Conference telephonique inatendue, atmosphere tendue… ca sent pas bon.
Je me suis fait clairer, foutre a la porte, let go, lay off, peu importe comment vous appeler cela. Le big boss de la grosse compagnie avait effectivement decide de reduire le nombre d’employe de 5% dans le but d’etre plus competitive versus les competiteurs. Etre le dernier engage, meme a un poste de direction, a ete ma fin.
Voici donc la lecon de vie:
Meme si le travail est quelques fois ennuyant ou si ca vous tente pas d’aller travailler, faites toujours attention, on ne sait jamais ce qui nous attends. Ce jour-la lorsque je dinait a la maison, j’ai eu un reality check!
Tant qu’a etre philosophe, en voici une autre: Lorsque vous commencez une nouvelle job et que l’on vous dit que le moment est exceptionnel pour debuter avec la compagnie, ne prenez pas pour acquis que exceptionnel est synonyme de bon moment !
mercredi 11 juin 2008
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2 commentaires:
:-\ sacréfice...comme tu dis, ya vraiment des journées qu'on aurait du rester coucher. my god la balloune qui t'a pété dans face :-(... as-tu retrouver un nouvel emploi?
La bonne nouvelle c'est qu'a Calgary il manque de monde dans tout les domaines, en comptabilite comme ailleur, donc oui j'ai recemment retrouve un emploi. D'ailleur je n'ai chome qu'une journee, mon ancien employeur m'a appele au secours.
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